Wednesday, July 31, 2013

Pourquoi ne parle-t-on jamais de l’Holodomor, massacre organisé de 7 milllions d’Ukrainiens par Staline ?

« Lénine était le plus grand des hommes après Hitler et la différence entre le socialisme et la foi d’Hitler est très subtile ».
Joseph Goebbels
 Hollande vient de consacrer le nouveau timbre à l’effigie de Marianne dont le modèle est une Ukrainienne, Inna Schevchenko, fondatrice des Femen. Flattée, celle-ci a déclaré qu’ainsi les cathos, les homophobes, et les opposants au mariage pour tous… « seront obligés de lui lécher le cul ». Délicat, non ?
Voila bien à quel niveau de culture sait descendre mou 1er quand il souhaite retrouver le doux parfum des étables de Corrèze qui lui est si cher.
Personne n’a remarqué, (l’inculture historique grandissant en France),  que cette consécration de la nouvelle Marianne s’est faite au moment même où en Ukraine on pleure le 80ème anniversaire de l’Holodomor, et ce n’est pas depuis l’Elysée que soufflera un espoir de renouveau culturel.
 Mais quèsaco « l’Holodomor » ?
Si les crimes du national-socialisme font (à juste titre), en France, l’objet de rappels constants des historiens, des politiciens, des journalistes, des producteurs de vidéos et de films, ceux du socialisme sont systématiquement passés sous silence !
D’ailleurs les lois mémorielles (à sens unique) si strictes sur le national-socialisme, ne mentionnent jamais, jamais, jamais… Le socialisme tout court !
Ce qui vous donne allégrement le droit de nier le Goulag, les procès staliniens, les génocides de masse de Mao et même ceux de Pol Pot !
Le tout, sans encourir le moindre blâme, la moindre sanction, des bien pensants !
L’Holodomor a été officiellement déclaré, en 2008, « crime contre l’Humanité » par l’Union européenne.
Mais notre presse nationale s’est bien gardée de le faire savoir à ses lecteurs et auditeurs, sans doute « pour ne pas stigmatiser toute le peuple de gauche », surtout pas d’amalgame !
L’Holodomor, je répète à dessein le mot pour le graver dans votre mémoires, c’est le massacre organisé de 7 millions d’Ukrainiens, blancs et chrétiens, par les communistes dans ces années 30 si chères à Jean-Philippe Désir, alias « Harlem » dans les lieux mal famés.
 Ces 7 millions n’ont été qu’un amuse-bouche, puisque les communistes staliniens, communauté dont Marie-George Buffet, Robert Hue et tant d’autres sont toujours d’honorables représentants en France, firent encore exterminer quelques 11 millions de soviétiques ukrainiens,tatars, juifs, tchétchènes… entre 1937 et 1941 avant que leur alliance avec les nazis ayant mal tourné, ne se concentrent sur le danger qu’Hitler était soudain devenu pour eux…
Un Letton, de Lettonie… petit pays balte colonisé par les communistes en 1940, et illustre inconnu pour nos médias aux ordres, a réalisé un film, « The Soviet Story », à partir d’archives occidentales, mais surtout de celles du régime stalinien, tombées il y a une dizaine d’années dans le domaine public.
La vidéo du film (1 h 30) est difficile à trouver gratuitement, par contre des extraits sont accessibles dans plusieurs langues… excepté le français !
L’adresse ci-dessous donne une version en anglais sous-titrée en ukrainien de la partie qui concerne l’Holodomor, rassurez-vous, si vous ne comprenez pas l’anglais, les images se suffisent à elles-mêmes, hélas

Le plus terrible est que l’Holodomor, cette shoah ukrainienne, a été provoqué par un mensonge de Staline, rappelant étrangement celui récent de mou 1er, avec : « sa reprise du développement industriel et son inversion de la courbe du chômage… » L’histoire de l’union soviétique n’est sur le plan économique qu’une longue série d’échecs du socialisme appliqué à l’économie qui, dès 1921, nécessita un retour à l’économie de marché appelé la NEP, ou « Nouvelle Politique Economique ».
Les famines disparurent, les paysans s’enrichirent, notamment ceux (les « koulaks ») de l’Ukraine, grosse productrice de blé.
En 1930, Staline voulut montrer au monde, comme Mou 1er aujourd’hui quand il raconte (sans rire) que la France a les meilleurs résultats économiques de l’Europe… Que l’économie socialiste donc, était si performante que l’URSS pouvait exporter.
En 1930 toute la production alimentaire de l’Ukraine fut pour « servir de preuves » exportée. Provoquant une famine incroyable, qui poussa la population à la révolte, les Ukrainiens clamèrent qu’il n’était plus question de leur voler leur blé. Alors Staline pour les punir, fit boucler le pays pour que les Ukrainiens ne puissent pas fuir et l’occident ne pas voir ce qui allait se passer.
Jusqu’en 1933 les paysans furent contraints de travailler sans salaire (cela s’appel de l’esclavage), tous les animaux sans exception abattus, toutes les réserves de nourriture confisquées, les champs gardés par le NKVD (ancêtre du KGB). Ceux qui tentaient d’y voler des grains de blé étaient abattus sur place et toutes les récoltes furent exportées, provoquant une terrible famine entrainant, pour la seule année 1933, 7 millions de morts et des scènes de cannibalisme.
Ce fût le programme d’extermination d’un peuple le plus efficace jamais vu dans l’histoire de l’Humanité, en dehors de toute intervention militaire extérieure.
Hormis cet épisode atroce de famine organisée et exécutée sans pitié, le film entier devrait être diffusé dans les classes d’histoire, car il démolit deux mythes particulièrement bien ancrés dans notre pays :
  • Le premier mythe nous fait croire que le communisme, contrairement au nazisme, part d’une bonne intention,
  • Le deuxième mythe consiste à faire croire que le socialisme internationaliste et le socialisme nationaliste des nazis n’ont absolument rien en commun, grâce à une petite ruse sémantique.
Si au lieu de traduire le mot « nationalsozialismus » par « national-socialisme » qui est un germanisme, on le traduit en bon français par « socialisme national », ça change tout, et ça… socialistes et communistes bien sur ne le veulent pas !
Dans le film, Edvins Snore (le Léton) nous raconte, témoignages, images et documents d’archives à l’appui, l’histoire commune de deux branches radicales du socialisme : le socialisme-national allemand et le socialisme-internationaliste russe.
Le marxisme, doctrine du socialisme, c’est la guerre des classes, et la guerre des classes implique de liquider une partie de la population. Car pour restructurer la société, il faut d’abord éliminer non seulement les opposants politiques, mais aussi les intellectuels, les meilleurs travailleurs, les artistes non conformes à la doctrine, etc.
Des groupes entiers de la société.
C’est le genre d’ingénierie sociale qu’ont mis en œuvre Lénine, Staline, Mao et Pol Pot, pour ne citer que les socialistes les plus sanguinaires. Cette ingénierie sociale forcée répond aussi à des critères ethniques lorsque des peuples entiers sont considérés comme trop réactionnaires.
Karl Marx prônait lui-même « l’extermination des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que les Basques, les Bretons et les Highlanders d’Écosse », tous des peuples trop peu évolués pour la révolution socialiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable « progrès…» de l’humanité.
Elle fut mise en œuvre par le socialiste-national Hitler qui avait décrété que « les races nuisibles au progrès socialiste de l’Humanité » étaient les Juifs, les Roms et les Noirs, entre autres…
C’est cette ingénierie sociale qui imprégnait sans doute la tête de Pierre Bergé, quand il souhaitait « des bombes sur la Manif pour tous », et celle de Clément Méric disant que « ils ne devraient même pas être vivants… ».
C’est celle qui est mise en œuvre de façon plus douce, plus pernicieuse et plus lente par ceux qui veulent aujourd’hui remplacer le peuple français par des peuples immigrés plus dociles au « progrès » que seraient pour eux, le multiculturalisme et le métissage généralisé, et incitent le peuple français à s’homosexualiser, sous prétexte « d’égalité », afin de réduire sans doute encore plus un taux de fécondité déjà faible.
Dans les années 30, à l’odeur nauséabonde selon les socialistes… Ceux-ci soutenaient Hitler dans leur majorité, que ce soit en France (faites vos propres recherches) ou dans les pays anglo-saxons, où le socialiste Georges-Bernard-Shaw promouvait le nazisme dans les médias. Et ce n’était pas parce qu’il ignorait les crimes qu’Hitler allait commettre, non,  bien au contraire c’est justement parce qu’il les connaissait !
Shaw demandait publiquement que les personnes inutiles pour la société soient assassinées de manière humanitaire (sic), Il « encourager l’euthanasie pour les plus de 62 ans », demande que fait maintenant Jacques Attali.
Le socialiste Shaw lança même dans le journal Listener du 7 février 1934 un appel aux scientifiques pour qu’ils découvrent un gaz « humanitaire » qui permettrait de tuer instantanément et sans douleur.
Shaw en avait rêvé, les nazis le mirent aux point 10 ans plus tard, sous le nom de Zyclon B !
Heureusement en France, tous les socialistes n’étaient pas d’accord, et nos modernes socialistes s’appuient sur cette minorité pour sauver leur « morale ». Ceux-là, (cette minorité) considéraient comme inacceptable de tuer les gens par catégories de races ! Car pour suivre les enseignements de Marx, la sélection devait être basée sur l’appartenance de classe… Un pays vraiment marxiste devait exterminer sa population avant tout selon le critère de classe et non de race !
Ah ! Mais sa fait toute la différence madame !
C’est ce que pense sans doute, le ministre Vincent Peillon quand il dit « regretter que les catholiques ne puissent être supprimés… ». Et il s’appuie, lui aussi, sur Marx lorsque qu’il déclare, « Les classes et les races trop faibles pour maîtriser les nouvelles conditions de vie doivent laisser le champ libre… » Elles doivent périr dans l’holocauste révolutionnaire sans doute ?
Supprimez le mot « race » comme la fait mou 1er, et il reste les classes : réacs, hétérosexuels, chrétiens, riches, chefs d’entreprises…
Le décret 0054 du NKVD soviétique du 28 novembre 1940, publié en pleine période du grand amour entre les communistes et les nazis, précisait : « Doivent exclus de la société socialiste…les membres de partis politiques, les personnes qui ont été exclues du parti communiste, les réfugiés, les étrangers, les personnes qui ont voyagé à l’étranger, les personnes qui font de l’esperanto (!), les philatélistes (!!), le personnel de la Croix Rouge, les personnes qui mènent une activité paroissiale, les membres du clergé, les membres actifs des communautés religieuses, les aristocrates, les propriétaires terriens, les commerçants aisés, les banquiers, les industriels, les restaurateurs et les hôteliers… ».
A bon entendeurs, salut !
André GALILEO
 The Soviet Story full movie (2008)
 

Tuesday, July 30, 2013

Jim Rogers: "The Whole 'Economic' World Is Artificial... It's Going To End Very Badly"

"There is a huge artificial boom going on," warns Jim Rogers as for the first time in history, all the world's major central banks are simultaneously printing money. While he remains adamant of the positive outlook for agriculture, the fact that "the whole world is trying to debase their currencies," produces a "major disconnect" between asset values and economic realities. Stocks are at new highs, not based on reality, but on printing presses "and that cannot work... this is going to end very very badly." While not all western economies are as egregious as others, the intertwined nature means their fate remains very much tethered to the US, and as Rogers concludes, "everybody will suffer, be very very careful as these are perilous times."


L’homme qui fait trembler le monde politique, c’est lui !

La vidéo qui fait le buzz en ce moment dans le monde politique, mais que les médias se gardent bien de diffuser, c’est celle -ci :

Monday, July 29, 2013

Cyprus Bail-In 47.5%

The Cyprus Bail-In seems to be coming in as 47.5%. Keep in mind that the loss is due to the banks holding debt from Greece that the EU promised would never happen. The entire European Banking System is at tremendous risk. Aside from the issue of proprietary trading that went sour as in New York, here we also have the problem that the banks held as AAA reserves the bonds of sovereign member states. So here we have the faulty design of the Euro undermining the banking system on a grand systemic level. This has even put Switzerland at risk for they have a ton of euros they have been buying trying to keep the Swiss franc pegged to a sinking ship. Switzerland is getting trapped by the chaos of the EU and their attempt to issue new Eurobonds after the German elections will also fail. They are now going to have to redeem ALL outstanding euro debt of all sovereign member states to save Europe.

The dollar is setting up to be the ONLY viable currency. We have the September debt ceiling battle ahead and Obama’s cry to increase taxes by $1.6 trillion. This is running the risk of massive deflation. The budget deficit is declining because the bailouts are done for now and the Fed is running around telling the bankers to re-calibrate their models and that they will NOT be bailing out proprietary trading next time around. Firms like Goldman Sachs will be forced to suffer their own losses for once. They will wine and cry behind the curtain that losses belong to the taxpayer and profits go to them. But this may fall on deaf ears this time around since it will coincide with the 2016 elections. We need to drive a stake in the heart of proprietary trading by banks once and for all. If they want to trade with other people’s money, convert to a hedge fund.
The deficits are moving lower and what will start to kick them higher will be the rise in interest rates. This is why the Fed is telling the bankers to wake up for there may not be the flight to quality that has been traditional up to this point.
Our models are still warning no HYPERINFLATION. Sorry! Find another bullshit sales pitch to fool the public. We are facing bail-ins in Europe on a grand scale, G20 hunt for every red penny, and Obama preaching more and more tax increases, with munis doing into default because they cannot pay the pensions and maintain current service levels. Everything around us is imploding and this is reflected in the massive decline in liquidity that is off by 50% from 2007 levels. This is how EVERY major economy has collapsed – complete implosion that destroys the economic foundation.
So while the politicians are in search of themselves out there, they have ignored the impact of their Marxist policies. They will not relent because to do so requires self-inspection and realization that the economic theories are dead wrong and are seriously overrated. Government in its all powerful Marxist mantle is the problem and it cannot see that the lights are fading. The Marxist haven is not all what it is cracked up to be. Economists and Politicians see themselves as the elite entitled by the divine hand of God to dictate how society should function. They never ask – What if we are wrong?

They have no contingency plan but to buy tanks and bullets while trying to cut off all supplies to private gun ownership to prevent a revolution. What will happen when people who have worked all their lives under the promise they could retire as the public workers in Detroit? Everyone who has believed this nonsense of perpetual utopia will come crashing down from their shooting stars. This is what Homeland Security is all about – protecting government from the delusional people as we see government workers rioting in Greece.
What I am saying here is not popular or fashionable because people do not want to think of themselves as fools. But thinking perpetual benefits would always be there for public workers is a wrong assumption that no matter how long it has gone unquestioned does not make it right. Too many people remain confused that a nation is its government. People have been crowning themselves with titles and honors, but it does not elevate them in reality. One day the emperor is seen bare-ass naked. Government and society are two distinct entities. The people are not government and government cannot claim the mantle of the people while exploiting them to sustain its own power. The blue skies of Marxism are fading to dark grey and the lights that appeared on the horizon have been extinguished. I try to explain this is how all empires, nations, and city states have historically always failed (not HYPERINFLATION) in my own last breath hoping to avoid the darkness if only we could stop and look before we crash and burn. In this quest, I will fail for who am I to change the fate of humankind.

Sunday, July 28, 2013

Croissance: comment faire taire Madame Lagarde ?

Si nous étions débarrassés des cocoricos de la directrice du FMI, la connaissance populaire de l'économie réelle progresserait.


Le plus grand problème économique du moment est moins la récession que le malentendu entre le discours politique et l'économie réelle. Pour en comprendre la nature, on s'en référera à une pièce de théâtre : Chantecler, écrite par Jean Rostand et jouée à Paris en 1908.
Les meilleures leçons d'économie ne se trouvent pas nécessairement dans les manuels d'économie : Chantecler est l'histoire d'un coq de basse-cour. Chaque matin, au réveil, ce coq chante, alors que le soleil se lève. Il est donc convaincu que c'est lui qui fait lever le soleil. Jusqu'à un matin fatal, où se réveillant trop tard, il découvre que le soleil est levé sans qu'il n'ait chanté : Chantecler se suicide.
Eh bien, la plupart des hommes politiques en Occident et plus encore les technocrates des institutions internationales, se prennent pour Chantecler : ils imaginent que leurs palabres et leurs prévisions déterminent un taux de croissance. Les peuples intoxiqués par tant de discours, finissent par y croire et attendent de cette classe politique locale et internationale qu'elle produise la croissance annoncée. Hélas, la croissance n'obéit pas aux injonctions publiques ! L'histoire économique nous enseigne que gouvernements et institutions internationales ont une grande capacité pour détruire l'économie mais très peu pour la construire. La destruction ? Elle est facile : fabriquer de l'inflation monétaire, creuser des déficits publics, financer des infrastructures inutiles, nuire aux échanges marchands, nationaux et internationaux, annoncer des prévisions absurdes, gélifier le marché du travail, planifier des investissements industriels à la mode, telles sont les flèches empoisonnées qui figurent dans le carquois politique.
Lire la suite@contrepoints.org

Saturday, July 27, 2013

Statism is turning America into Detroit – Ayn Rand's Starnesville come to life /Detroit, précurseur du destin des USA

Look at this description of Detroit from today’s Observer:
What isn’t dumped is stolen. Factories and homes have largely been stripped of anything of value, so thieves now target cars’ catalytic converters. Illiteracy runs at around 47%; half the adults in some areas are unemployed. In many neighbourhoods, the only sign of activity is a slow trudge to the liquor store.
Now have a look at the uncannily prophetic description of Starnesville, a Mid-Western town in Ayn Rand’s dystopian novel, Atlas Shrugged. Starnesville had been home to the great Twentieth Century Motor Company, but declined as a result of socialism:
Read more@http://blogs.telegraph.co.uk/

Si vous voulez voir le résultat final que donnera la politique menée par Obama, alors regardez du côté de Detroit.
Vous pensiez que La Grève (Atlas Shrugged) d'Ayn Rand était une fiction ?

Voici la description que The Observer fait de Detroit :
"Tout ce qui n'est pas jeté est volé. Les usines et maisons ont été dépouillées de quasiment tout objet de valeur. Les voleurs s'en prennent désormais aux pots d'échappement de voitures. L'analphabétisme atteint les 47%. La moitié des adultes de certaines zones sont au chômage. Dans de nombreux quartiers, le seul signe d'activité est une personne marchant lentement vers le magasin de spiritueux."
 Maintenant, voici la description étrangement prophétique de Starnesville, une ville du centre-ouest des États-Unis dans le roman dystopique d'Ayn Rand, La Grève. Cette ville avait été le foyer de la grande Twentieth Century Motor Company, mais avait décliné à cause du socialisme.
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Jim Rickards: Most Likely Outcome Is Still A Monetary Collapse

In his latest interview Jim Rickards gives an update on his economic and monetary outlook and compares it with his view two years ago when he was writing his book. In particular, he talks about the scenario that is unfolding currently: a monetary collapse.
In general he recognizes that we are going through a major transition which started in 2007. We are on our way to a new economic and monetary situation. Major transitions are characterized by unstability, or a bubbly environment. That will continue till one of the following scenarios becomes reality:
  1. Chaos, or monetary collapse.
  2. A basket of currencies acting as a world reserve currency.
  3. SDR (special drawing rights) issued by the IMF.
  4. A form of a gold standard.
Mr. Rickards still expects a collapse of the dollar as the most likely outcome. That has not changed since he has written his book.
Long term outlook – Monetary collapse
Mr. Rickards sees that we are heading towards the first of the four scenarios. Although he does not pretend to know the future (which nobody does evidently) he comes to his conclusion by analyzing the evolution. Up until now, based on the decisions and behaviour of policy makers, he believes there is enough evidence to believe that all signs point to a monetary collapse.
Read more@goldsilverworlds.com
Listen to the Interview

Jim Puplava’s Big Picture: Investing In the Gold Markets: Mistakes Made – Lessons Learned


CLICK ON PICTURE TO LISTEN
 In this special edition of the Big Picture, Jim puts a capstone on his series of interviews with gold industry experts, including gold fund managers, gold mining CEO’s, geologists, newsletter publishers and gold analysts. Using audio clips from the experts for emphasis, Jim discusses the struggles of the gold industry, and lays out the mistakes that were made, and the lessons that were learned. The list of experts include Keith Barron, Robert Quartermain, Ross Hansen, John Doody, Jean-Marie Eveillard, Ronald Stoeferle, Caesar Bryan, Jeff Christian and Sean Boyd. Jim also answers your Q-Calls in this segment of the program.

Here’s what happens when a central bank goes bust

Over the past several decades, people around the world have become so brainwashed that few people really give much thought anymore to the safety of their currency.
It’s not something people really understand… there’s apparently some Wizard of Oz type figure at the top of the hill pulling all the levers of the monetary system. And we just trust them to be good guys.
This is partially true. Today’s financial system is dominated by central bankers who have been awarded nearly dictatorial control of global money supply.In allowing them to set interest rates, they are able to control the ‘price’ of money, thus controlling the price of… everything.This power rests primarily in the hands of four men who control roughly 75% of the entire world money supply:
  • Zhou Xiaochuan, People’s Bank of China
  • Mario Draghi, European Central Bank
  • Haruhiko Kuroda, Bank of Japan
  • Ben Bernanke, US Federal Reserve
Four guys. And they control the livelihoods of billions of people around the world.
So, how are they doing?
We could wax philosophically about the dangers of fiat currency. Or the dangers of the rapid expansion of their balance sheets. Or the profligacy of wanton debasement through quantitative easing.
But let’s just look at the numbers.
In theory, a central bank is like any other bank. It has income and expenses, assets and liabilities.
For a central bank, assets are typically securities or commodities which have value in the international marketplace, such as gold or US Treasuries.
Central bank liabilities are all the trillions of currency units floating around… dollars, euros, yen, etc.
The difference between assets and liabilities is the bank’s equity (or capital). And this is an important figure, because the higher the capital, the healthier the bank.
Lehman Brothers famously went under in 2008 because they had insufficient capital. They had assets of $691 billion, and equity of just $22 billion… about 3%.
This meant that if Lehman’s assets lost more than 3% of their value, the company wouldn’t have sufficient cushion, and they would go under.
This is exactly what happened. Their assets tanked and the company failed.
So let’s apply the same yardstick to central banks and see how ‘safe’ they really are:
  • US Federal Reserve: $54 billion in capital on $3.57 trillion in assets, roughly 1.53%. This is actually less than the 1.875% capital they had in December. So the trend is getting worse.
  • European Central Bank: 3.69%
  • Bank of Japan: 1.92%
  • Bank of England: 0.843%
  • Bank of Canada: 0.532%
Each of these major central banks in ‘rich’ Western countries is essentially at, or below, the level of capital that Lehman Brothers had when they went under.
What does this mean?
Think about Lehman again. When Lehman’s equity was wiped out, it caused a huge crisis. The company’s liabilities instantly lost value, and almost everyone who was a counterparty to Lehman Brothers lost a lot of money because the company could no longer pay its debts.
Accordingly, if the US Federal Reserve’s assets unexpectedly lose more than 1.5% of their value, the Fed’s equity would be wiped out. This means that any counterparty holding the Fed’s liabilities (i.e. Federal reserve notes) would lose.
More specifically, that means everyone holding dollars.
Theoretically if a central bank becomes insolvent, it can be bailed out. It happened in Iceland a few years ago.
There’s just one problem with that thinking.
Iceland’s government wasn’t in debt at the time. So they were able to borrow money in order to bail out their central bank. Today the government is in debt over 100% of GDP, but the central bank is solvent.
But governments in the US, Europe, Japan, England, etc. are all too broke to bail out their central banks. These governments are already insolvent. So if the central bank becomes insolvent, there won’t be anyone to bail them out.
This is one of the strongest indicators of all that the financial system as we know it is finished. When central banks can no longer credibly issue liabilities, and their home government are too broke to bail them out, this paper currency standard can no longer function.
Such data really underscores the importance of owning real assets such as productive land and precious metals.
Given its nominal roller coaster ride lately, there has certainly been a lot of scrutiny and skepticism about gold.
But to paraphrase Tony Deden of Edelweiss Holdings, if you dispute the validity of gold as a hedge against declining fiat currency, that makes you, by default, a paper bug. Can you really afford to be confident in this system?

La Fayette, héros aux États-Unis, méjugé en France.

La Fayette, inlassable champion de la liberté. Héros aux États-Unis, méjugé en France.

 Pendant la plus grande partie du vingtième siècle, une culture d’inspiration jacobine ou marxiste a imprégné le pouvoir, l’administration, l’université et même l’enseignement primaire et secondaire de notre pays. Un certain nombre de grands penseurs libéraux français comme  Etienne de La Boetie, Destutt de Tracy, Jean-Baptiste Say, Frédéric Bastiat, Alexis de Tocqueville sont ainsi tombés peu à peu dans l’oubli. Ils y seraient encore si les Etats-Unis n’en avaient pas cultivé la mémoire, ce qui nous a permis de les redécouvrir et de les rééditer.
D’autres grands libéraux ont gardé un certain lustre dans l’Histoire de France, mais pas parce qu’ils étaient libéraux : Turgot comme ministre des finances, Condorcet comme mathématicien, Benjamin Constant comme romancier, Guizot comme premier ministre. Mais là encore, c’est aux universitaires américains que l’on doit de se rappeler qu’ils ont été aussi de grands économistes, philosophes ou humanistes libéraux.
 Dans ce Panthéon, La Fayette occupe une place à part, car il n’est jamais tombé dans l’oubli en France, à cause de ses performances militaires en Amérique et de son rôle politique en France pendant la révolution. Mais l’analogie avec ceux que je viens de mentionner est que seuls les historiens américains ont vu ce qu’il était réellement : un paladin inlassable des libertés individuelles, combat qu’il a poursuivi jusqu’à son dernier souffle, pour lequel il a exposé sa vie et sacrifié sa fortune. Il lui aurait peut-être aussi sacrifié sa famille s’il n’avait eu une femme admirable qui l’a constamment soutenu avec un dévouement total.
Lire la suite@institutcoppet.org

Marc Faber: "It's Gonna End One Day... Through War Or Financial Collapse"

Given more than his normal 30-second soundbite on mainstream media, Marc Faber is able to discuss in considerably more detail his views on the massive growth in global financialization (when compared to real economies) noting that "one day, this financial bubble will have to adjust on the downside." This will occur via either an inflationary burst or a collapse of the system. Simply put, "it's gonna end one day," either through war or financial collapse, "it will be very painful." The Gloom, Boom, and Doom Report editor notes current asset valuations are driven by excess credit creation, printing money, and distorted market signals, and the unintended consequences of the effect on investor psychology are perfectly mis-timed. Faber concludes with a discussion of the inflationary impact of US monetary policy and where it is seen (and not seen) and the global social unrest implications of middle class discontent.

Our Enemy, the State

This is just one of the reasons why the institution of the State qua State urgently needs to be questioned. The citizens of China or Japan would never by themselves entertain the idea of going to war with each other, least of all over a few tiny islands which they care not one bit about in reality (of course their governments are whipping up nationalistic fervor over the islands, but failing that, absolutely no-one would give a flying you-know-what).
Governments have killed 260 million people in the 20th century alone. Without the State, this would never have happened. As James Corbett points out in a recent report, the religion of statism is the most dangerous and irrational belief of them all.



Tuesday, July 23, 2013

Gold Headed To Old High, But Gains In Silver Will Be Historic

With the price of gold and silver soaring, today John Embry told King World News there is going to be a continued massive surge in the gold price, but the gains in silver will be “historic.”  Embry spoke at length about the gold and silver markets, the Fed and the mining shares.  Below is what Embry had to say in this powerful interview. 

 Embry:  “I’m focused on the better tone in the gold and silver markets.  It’s been a long struggle, but with all of the information that’s come out recently regarding how tight the physical market is and the fact that the paper gold market really is one of the greatest Ponzi schemes of all-time, I think we could finally be on the cusp of a huge move in gold....
Read more@kingworldnews.com 

Le socialisme: La route de la servitude…

Le socialisme est un système de type collectiviste qui se traduit essentiellement par la propriété publique des instruments de production. Autrement dit, seul le gouvernement peut être propriétaire du capital productif de l’économie.
 L’autre terme souvent utilisé pour désigner le socialisme est la planification centrale. C’est que dans ce système, il n’y a plus d’entrepreneurs, juste des fonctionnaires. Il n’y a plus de concurrence ni de profits. L’État a le monopole sur tout et décide de quoi et combien produire.
 Comme il n’y a plus de profit, plus rien ne motive les travailleurs. Ceux-ci ne peuvent pas améliorer leur sort en travaillant plus dur ou en améliorant leurs compétences. C’est pourquoi les systèmes socialistes voient leur productivité baisser drastiquement. Il en résulte une baisse de la production et des pénuries. Par exemple, avant d’adopter le communisme, la Russie était un gros exportateur de céréales, alors qu’à une certaine époque sous le communisme, elle n’en produisait plus assez pour nourrir sa propre population, devenant éventuellement le plus gros importateur de céréales au monde.
 De plus, sans profit, l’innovation n’est pas encouragée. Pour qu’un individu donne le meilleur de lui-même, il faut que ça en vaille la peine. Si personne ne peut profiter de son travail acharné ou des découvertes engendrées par son génie créatif, personne n’aura la motivation nécessaire à faire avancer la société vers un meilleur niveau de vie. L’absence de profit complique aussi les décisions d’investissement. Comment comparer deux investissements différents sans profit? Les pays socialistes accusent donc généralement un retard technologique important.
Karl Marx, auteur du « Manifeste du Parti Communiste », proclamait que dans le système qu’il préconisait, tous contribueraient à la mesure de leurs habiletés et chacun en bénéficerait selon ses besoins (« from each according to his abilities, to each according to his needs »). Cependant, nous avons tous des besoins différents. De nos jours, mêmes des individus considérés comme pauvre ont un lecteur DVD. Pourtant, cet objet n’existait pas il y a quelques décennies. Le planificateur aurait-il jugé ce bien superflu pour la population? Possiblement. C’est donc le planificateur qui a le pouvoir de décider de ce que nous avons besoin et de ce que nous sommes supposés vouloir.
 Dans un système libre, les travailleurs génèrent un effort suffisant pour combler leurs besoins. Quel est leur incitatif à travailler à la mesure de leur pleine capacité si leurs besoins sont « assurés » d’être comblés par l’État? Cela crée un conflit entre ceux qui produisent plus qu’ils ne consomment et ceux qui consomment plus qu’ils ne produisent.
 Par ailleurs, dans le système socialiste, tous les travailleurs deviennent des employés de l’État et deviennent donc les outils des planificateurs. La grande puissance de cet employeur lui confère une autorité absolue sur les travailleurs, qui ne deviennent alors que de vulgaires esclaves au service d système.
 Comme il n’y a plus de concurrence, les consommateurs n’ont plus vraiment de choix. Seuls les produits de l’État sont offerts et ce dernier n’a aucune incitation à se démener pour offrir des produits innovateurs et meilleurs pour distancer un concurrent puisqu’il a le monopole. Comme il n’y a plus de choix, la qualité des produits et du service importe peu.
  La planification d’une économie est une tâche excessivement difficile, voire impossible. Comment savoir combien il faudra produire de voitures ce mois-ci? Comment savoir quels types de voitures seront requis? Comment savoir les préférences des consommateurs puisque ceux-ci n’ont plus de choix? Prenons par exemple la production d’un pain. Le producteur doit prévoir la demande pour en produire assez, mais pas trop. Il doit ensuite acheter du grain ainsi que les autres ingrédients. Le producteur de grains doit aussi planifier sa récolte en fonction de la demande de pain, mais aussi d’autres utilisations du grain. Il aura besoin de semences, de fertilisants et d’essence pour ses tracteurs. Les producteurs de ces trois intrants devront à leur tour planifier la demande. Ce raisonnement continue à l’infini. La coordination effectuée par les marchés entre les différents acteurs économiques est une tâche magistrale qu’aucun planificateur ne peut effectuer, même s’il est armé d’un ordinateur hyperpuissant.
 Comme l’État est partout dans un système socialiste, cela crée un environnement très fertile à la corruption. Dans ce système, le seul moyen d’améliorer sa situation est d’utiliser le pouvoir coercitif de l’État. Dans son livre « La route de la servitude », l’économiste Friedrich Hayek démontre comment il est inévitable que le socialisme se transforme graduellement en dictature totalitaire.
 Le socialisme vise à diriger les ressources de la société vers un idéal unique Et comme les ressources sont toujours limitées, le planificateur socialiste doit faire des choix, il doit prioriser. Il est évident que l’ordre de priorité serait différent pour chaque personne car nous avons tous des besoins, valeurs, préférences et idéaux différents. Les choix des planificateurs doivent donc être imposés de force à la société. Il n’y a pas de place pour les désirs individuels dans le socialisme.
 La planification centrale mène inévitablement à la dictature totalitaire parce que celle-ci est le meilleur moyen de contraindre les individus à obéir aux vus des planificateurs de façon à réaliser l’idéal socialiste. La planification centrale mène donc naturellement vers une réduction substantielle de la démocratie. Le socialisme ne peut être mis en pratique que par des méthodes que les socialistes eux-mêmes désapprouvent.
 Dans une société libre et démocratique, les pouvoirs de l’État sont limités par la loi et la constitution, lesquelles protègent les droits et libertés ces citoyens. Dans un système socialiste, la disparition graduelle de la démocratie mène à l’affaiblissement du système légal. Le pouvoir étatique devient donc arbitraire plutôt que démocratique. Les planificateurs peuvent donc utiliser la loi pour contraindre les citoyens à leur obéir, plutôt que pour préserver leurs droits et libertés.
  Même si les planificateurs ne se concentrent initialement que sur les aspects économiques de la société, il en résulte inévitablement un contrôle prépondérant dans toutes les sphères d’activité de nos vies, puisque tel que démontré dans l’introduction de ce livre, nous faisons tous des dizaines de décisions économiques par jour; l’économique est partout dans nos vies. L’absence de liberté économique est donc inextricablement liée à la disparition de la liberté politique.
 Dans une société libre où les moyens de production sont répartis parmi des millions d’individus agissant indépendamment, personne ne peut avoir suffisamment de pouvoir pour diriger nos vies, mais dans un système socialiste où tous les moyens de production sont détenus par une seule entité, l’État, le petit groupe à la tête de cette entité a une emprise absolue sur nos vies. Dans ce système, ce sont les fonctionnaires qui décident, à leur discrétion de qui, quoi, quand et comment (« who?, whom? » comme le disait Lénine).
 Le régime socialiste implique aussi que les médias soient la propriété de l’État. L’information perd alors son indépendance puisqu’elle ne provient plus que d’une seule source. La vérité n’a plus d’importance puisque tout ce qui est dévoilé au public a, au préalable, été approuvé par les dirigeants ou a même été inventé de toutes pièces par ceux-ci. Les dirigeants obtiennent alors la possibilité d’utiliser les médias pour arriver à leurs fins. Ils peuvent  être utilisés pour déformer la réalité, voire créer des mythes, de façon à justifier des actions normalement indéfendables. De plus, toute critique du régime doit être supprimée de façon à ne pas affaiblir le soutien du peuple.
 Dans un système socialiste, les planificateurs ne contrôlent pas seulement la nature et la quantité de ce qui est produit, mais aussi la façon dont la production est distribuée à l’intérieur du pays. Ils peuvent donc diriger la production de façon à discriminer les région ou groupes qui ne supportent pas le régime.
 Les dirigeants des régimes socialistes sont toujours des êtres impitoyables dépourvus d’humanisme et des tyrans mégalomanes sans scrupule. Comme l’application du socialisme repose sur la contrainte, la bonne tenue du système nécessite beaucoup de surveillance, voire d’espionnage, ainsi que des actes de répression et de coercition (par exemple la Gestapo). Les hommes qui ont les aptitudes nécessaires à ces tâches sont souvent autocratiques et raffolent du pouvoir. Or ces positions sont souvent celles qui permettent d’accéder aux plus hauts échelons. Lénine, Hitler, Mussolini, Mao, Pol Pot, Mengistu, Kim Jong Il, Allende, Castro et éventuellement Hugo Chavez entrent tous dans cette catégorie. De plus, comme le disait Lord Acton en 1919 : « Le pouvoir a tendance à corrompre, et le pouvoir absolu corrompt absolument ».
  La société qui découle d’une organisation socialiste devient vite invivable pour le commun des mortels, qui en viennent éventuellement à fuir le pays. Le parti au pouvoir en vient rapidement à la conclusion que pour éviter l’effondrement du système par l’attrition, les déplacements des citoyens doivent être restreints. L’illustration la plus éloquente en est certainement l’ignoble mur ayant séparé l’Allemagne de l’Est du reste du monde pendant si longtemps. Encore aujourd’hui, les Cubains et les Coréens du Nord, entre autres, vivent encore sous cette contrainte et risque leur vie pour arriver à fuir leur pays.
La recette socialiste :
Comme nous l’avons vu avec les exemples du Chili des années 1970s et du Vénézuela des années 2000s, ainsi que dans plusieurs autres cas (Cuba, Allemagne de l’Est, Corée du Nord, etc), l’implantation d’un régime socialiste comprend des expropriations d’actifs, la centralisation du pouvoir, le contrôle des médias et l’ascension de dictateurs monstrueux.
 Les symptômes du socialisme sont inévitablement la diminution de la qualité des produits, l’inadéquation de l’offre de produits en fonction des besoins et désirs des consommateurs, de sévères pénuries, des systèmes de rationnement, des retards technologiques importants, une faible productivité des travailleurs, de la répression, la perversion du système de justice, l’apparition de restrictions quant aux déplacements, la disparition de l’information véridique et de la liberté de presse, l’affaiblissement (voire l’extinction) de la démocratie et des droits humains et surtout l’anéantissement de la liberté.

Monday, July 22, 2013

Le gouvernement Ayrault contre la concurrence, au détriment des Français

Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault s'oppose systématiquement à la concurrence. Première victime, les Français, qui paient pour ce capitalisme de copinage.

Avec l’été mûrissent les projets du gouvernement : restriction des auto-entrepreneurs et mise à dos des "poussins", contraintes supplémentaires sur les voitures de petite remise, réglementation des drives et de l’éclairage nocturne… la chaleur estivale retrouvée suscite visiblement la fièvre régulatrice. Ces projets confirment que non seulement le gouvernement est l’ennemi de la concurrence, mais surtout qu’il s’inscrit dans la longue lignée dirigiste française par laquelle les élites, "insiders" partisans du statu quo, bloquent toute évolution positive.
Colbertisme oblige, la politique économique française n’a jamais été réellement animée par un souci de défense de la concurrence libre. Dès qu’un régime alternatif se développe pour sortir des pesanteurs de l’économie administrée, par exemple dans les transports ou encore la distribution en ligne, l’État s’empresse de le menacer et de tenter de le réduire au silence.
Lire la suite@contrepoints.org

En Hollandie, l'arbre norvégien a du mal à cacher la forêt de d'jeunes


Overdose : La prochaine crise financière


Ce documentaire retrace les origines de la plus grande crise financière et économique de notre époque et montre à quel point la situation actuelle n'est qu'une répétition de celle de 2008. L'overdose est proche !

Wednesday, July 17, 2013

State Of Mind — Film Full Version HD

[Ed. Note: Our sincere thanks to Infowars for making this film available to everyone, everywhere, for free. Friends, to support the filmmakers, please consider buying a copy as well.]

State Of Mind: The Psychology Of Control, from the creators of A Noble Lie: Oklahoma City 1995, reveals that much of what we believe to be truth is actually deliberate deception. The global elites are systematically implanting lies into our consciousness to erect a “tyranny over the minds of men.” This film exposes the mind control methods being used to turn our once vibrant society into a land of obedient sheeple. 

Gouvernement ! don't touch my bus ! The Glorious Rebirth of Bus Travel & Why the Gov’t May Ruin it Again

The long-distance busing industry was originally dominated by small scrappy companies competing fiercely to win over customers, only to become a government-protected cartel with declining ridership and all the competitive spirit of Ma Bell. A half-century later, busing returned to its glorious origins, but today it’s in danger becoming a ward of the state once more.
In the 1910s, the very first American bus companies started picking up passengers on main streets all across America. There were few barriers to entry; entrepreneurs without much capital could buy or lease a motorcoach and then start doing regular pick-ups in front of a hotel or on a street corner.

GGG ! Germany ! The German Gold is Gone

You may have heard about William Kaye’s assertion that Western central bank gold is being recast for purchase in Asia. The recent statements of the Fund Manager on King World News are making quite a circuit. However, when asked about it in order to investigate the matter, Mr. Kaye had to say a few things to avoid unnecessary misunderstandings. (Deutsche Übersetzung für Mitglieder)
William Kaye is the Founder, Vice Chairman and Senior Managing Director of the Pacific Alliance Group of Companies in Hong Kong. In January 2013, Kaye said in a telephone interview with Bloomberg that he planed to take delivery of $35 million worth of gold bars that can be traded on the London Bullion Market Association and other international markets. It has secured vault space at Hong Kong International Airport to store the gold, he said.
https://www.metallwoche.de/clarification-of-william-kaye-re-german-us-gold-in-hong-kong-refineries/

Where Is All The Inflation?

One of the most popular questions we receive at our website goes something like this: ‘Hey I watched your videos and I get most of it – but if we are printing so much currency why aren’t prices rising rapidly?’. It’s a great question that we’ve covered many times before – but it’s time for another refresher.
Anyone who has watched the first episode of Hidden Secrets Of Money will be familiar with Michael Maloney’s hockey stick charts of global currency creation. For those who haven’t seen the video, the charts depict the epic levels of lunacy that governments around the world have resorted to in an effort to keep relative currency values in check.
So let’s step back a moment. Just why has the whole world joined the party when it comes to these obscene levels of currency creation?
Read more@goldsilver.com

Tuesday, July 16, 2013

Jim Rogers: "Beware The Man On The White Horse..."

As far back as ancient times, whenever civilizations fell into great crisis, people in desperation have almost invariably turned to a single individual who promised them better times.
Both the Greeks and Romans often conveyed dictatorial powers to someone in whom they entrusted people’s security and livelihood. Typically this was a battle-hardened general who could lead a city’s defenses and beat off an invading horde.
Of course, history is full of examples of men who did not give up power willingly once the crisis passed.
The ancient historian Herodotus lists as many as fifty ‘tyrants’ in his writings, a word that has its origins in ancient Greek despotic rulers.
For thousands of years, ambitious men have always taken advantage of crisis, social turmoil, and economic downturns to solidify their positions and take control… often creating even more destruction in their wake.
As an example, the 1920s economic crisis in the Weimar Republic had a huge impact in the rise of Adolf Hitler’s National Socialism.
One of Hitler’s key tenets was to abrogate the Treaty of Versailles, and in particular section 231 – the ‘war guilt’ clause that stuck Germany with debilitating war reparation payments.
His message resonated with millions of Germans who had seen their entire lives turned upside down by economic stagnation and one of the worst episodes of hyperinflation in history.
Read more@zerohedge.com

Monday, July 15, 2013

Union Européenne,la grande l'escroquerie !!

Et si on reprenait nos vies et notre liberte a l'etat ?

Quelle place occupent les autorités dans notre vie, de la naissance au dernier jour ? Et quelle serait leur juste place ?

 Enfance et jeunesse
Maternité, places de crèche, carte scolaire, rectorat, programmes, calendrier, collège, enseignants conscientisés, lycée, université, dette publique à rembourser.

Entrée dans la vie active
 CDD-CDI, charges sociales, impôts, déclaration, tiers provisionnel, sécu, taxes par centaines, stage à peine payé, pôle emploi, auto-entrepreneur bridé, emploi jeune assisté.
Adultes
Allocs si vous êtes gentils, formulaires, démarches, files d’attente.
Prolifération des élus, prolifération des ministres, prolifération des effectifs des autorités, prolifération des échelons, prolifération des ronds-points, guichets, « il manque un document ».
Mariage civil, « manger bouger », fumer tue, contrat social (signé par qui ?), médias subventionnés, médias nationalisés, culture étatisée, festivités embrigadées, quotas de chanson française, lois mémorielles, pas de voile, pas de kippa, pas de croix, discrimination « positive ».
Radars abusifs, entraves à la circulation, transports en commun, bonus-malus, règlementations-labyrinthes à la Kafka, travaux publics, HADOPI, permis d’urbanisme, permis de construire, non bâtissable, semences interdites, élections sans vraie alternance, affaires, impunité, énarchie qui décide.
Carte d’identité informatisée, passeport biométrique, contrôle des papiers, caméras de surveillance, plus de secret bancaire, délation des logements vides, boucs émissaires.
Pantouflage, capitalisme de connivence, professions protégées, privilèges, monopoles, cartels entretenus, subventions aux grandes entreprises, sauvetages de banques, lobbys, règne de la conformité, Bruxelles.
Justice orientée, science militante, aventures militaires.
URSSAF, inspection du travail, contrôles
 Vieillesse
 Retraite par répartition obligatoire, régimes spéciaux à notre charge, inflation.
 Après
 Impôt sur la mort
Et si on reprenait nos vies ?
 Ouverture d’esprit, créer son école, liberté de contrat, liberté de travail, culture libérée, information libérée, liberté dans la santé, liberté de logement, droit à ses croyances et à ses goûts, garder les fruits de son travail, se prendre en main, générosité, entraide, dignité retrouvée, « tout ce qui n’est pas interdit est autorisé » et non l’inverse, respect de la vie privée, responsabilité, retraite choisie, transmission à ceux qu’on aime.
 Et si on reprenait nos vies ?
 

Jim Roger Sneeze but the bull market is still in place for gold .

Vitacost.com

Doug Casey: You MUST get some assets outside of the United States

Vitacost.com the Freedom Fest in Las Vegas, NV, Legendary resource investor and the head of Casey Research Doug Casey drops some major bombshells about the future of the United States and its citizens.
“You MUST get assets outside the U.S., because this place is on the edge of possible chaos. It seems like the perfect storm,” says Casey.

  If you’re a U.S. citizen, they consider you property. You’re a milk cow, and if they need a beef cow, you’ll become a beef cow.

 

Les parasites et pillards français,bientôt à court de victimes ?

La France n'a plus d'autre choix que de baisser la dépense publique. 

 Les parasites et pillards français sont à court de victimes.


La géniale Margaret Thatcher est connue pour avoir déclaré que "le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres". Apocalypse Now a lui cette citation emblématique : "J'aime l'odeur du napalm au matin". La situation fiscale en Europe me fait combiner ces deux phrases et je dirai que "j'aime quand les étatistes sont à court de victimes et commencent à se détruire entre eux". Voilà qui est sur le point d'arriver en France.
Le fardeau des dépenses publiques est énorme, avec le secteur public consommant 57% de la production économique. C'est plus que la Grèce ou la Suède ! Si rien n'est fait, la France va plonger dans une crise similaire à la Grèce, les investisseurs perdant confiance dans la capacité de l’État à payer ses factures.
La situation est si mauvaise que même le président socialiste François Hollande affirme qu'il prévoit de réduire les dépenses, mais il fait face dans son propre parti à une révolte de ceux qui refusent de reconnaître la réalité. Voici quelques extraits d'un article du journal britannique The Telegraph :

" Le président François Hollande a déjà provoqué la colère de la majorité de sa propre base socialiste avec des plans de réduction des dépenses en termes absolus pour la première fois depuis 1958, mais c'est peut-être juste le début de la bataille. La Cour des Comptes n'est pas encore à mi-chemin de son resserrement budgétaire. "La France s'éloigne. Comme une vague qui s'en va, elle se retire petit à petit de l'économie mondiale, de façon imperceptible dans le passé, mais clairement visible aujourd'hui" déclare Jean-Pierre Letarte, le responsable d'Ernst & Young pour la France. Le gouvernement a prévu une contraction économique de 0,3% cette année avec une reprise faible pour la seconde moitié de l'année. Mais plusieurs économistes du privé craignent bien pire s'il y a un choc extérieur. "Cela pourrait atteindre une récession de 1,5%" a déclaré Jean-Michel Six de Standard & Poor's. M. Hollande a jusqu'ici suivi les demandes d'austérité de l'UE, retirant son engagement pour une stratégie de croissance dans le style du New Deal qu'il avait pris lors de sa campagne électorale. Mais sa cote de popularité s'est effondré plus vite que tous ses prédécesseurs, et la majorité de son parti est proche de la révolte."
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Saturday, July 13, 2013

Qu’est-ce que le fascisme ?

Le fascisme est un système de gouvernement tout à fait contraire à la morale classique du libéralisme. Toutefois, malgré le caractère largement péjoratif de ce terme en politique, les caractéristiques principales de la politique fasciste peuvent expliquer en grande partie les comportements politiques et les systèmes de valeur d’une grande majorité des intellectuels, des militants, et des hommes politiques de l’époque contemporaine, notamment aux États-Unis.




 Llewellyn H. Rockwell, ancien rédacteur en chef des publications de Ludwig von Mises et chef du Congrès du personnel de Ron Paul, est le fondateur et président de l'Institut Ludwig von Mises à Auburn (Alabama), exécuteur testamentaire de la succession de Murray N. Rothbard, et rédacteur en chef de LewRockwell.com.



 
Tout le monde sait que le fascisme est un terme péjoratif souvent utilisé pour décrire toute position politique de quelqu’un que l’on n’aime pas. Il n’y a personne autour de nous qui soit prête à se lever et à dire : « Je suis un fasciste, je pense que le fascisme est un grand système économique et social. »
Mais je soutiens que s’ils étaient honnêtes, la grande majorité des hommes politiques, des intellectuels, et des activistes politiques devraient justement dire cela.
Le fascisme est le système de gouvernement qui cartellise le secteur privé, planifie l’économie en vue de subventionner les producteurs, exalte l’État policier comme source de l’ordre, nie les droits et les libertés fondamentales des individus, et fait de l’exécutif le maître sans bornes de la société.
Cela décrit le courant dominant de la politique en Amérique aujourd’hui. Et pas seulement en Amérique. C’est également vrai en Europe. Cela fait tellement partie de la pensée dominante qu’on ne s’en rend pratiquement plus compte.
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The Powerful Case for Silver.Fundamentals Are Strongest Ever .

Peter Schiff just released his new research report entitled “The Powerful Case for Silver” (pdf format). In it, he explains why the upside potential of silver is greater than the one of gold. Peter Schiff believes that the fundamentals for silver are the strongest they have ever been and that silver is massively undervalued at today’s prices.

The fundamentals of silver explores three key fundamentals of silver:
  • Silver’s value as a barter currency
  • Current and future demand for silver as an industrial metal
  • Silver’s current undervaluation relative to gold and dollars
The following excerpt from the introduction (page 2 of the report) shows that the reasons for buying PHYSICAL silver are also the easiest to understand.

1. Silver is the everyman’s gold
Investors all around the world are worried about the weakening US dollar and already imagine a day when the world’s reserve currency will be worthless. Throughout history, whenever the value of fiat currencies became unreliable, governments and citizens turned to the stability of precious metals to transact day-to-day business. But gold’s high value-to-weight makes it impractical for daily transactions. Silver, on the other hand, is a very convenient medium ofexchange.
2. Silver is a valuable industrial material
Because silver conducts heat and electricity better than any metal on earth, more than half of annual global silver production is destined for industrial use. Even in the midst of a Western economic downturn, industrial silver demand from emerging markets is projected to hit new highs in the coming years.
3. Silver is undervalued relative to gold
Back when paper currencies were actually backed by precious metals, the historic ratio of the value of an ounce of silver to an ounce of gold was about 16:1. Recently, that ratio has stood around 61:1. Given today’s gold prices, if silver were to realign with its historic ratio, it would be worth over $60/oz! If you think gold has yet to find its ceiling, there is good reason to believe silver’s rally will be even more dramatic.
 Download the 14-page report “The Powerful Case for Silver

 The Most Stunning Development in Gold and Silver

Evasion fiscale : ce sont les députés européens qui s'évadent !

Une vidéo fait scandale autour des avantages indécents dont bénéficient les députés européens.

Vous me connaissez tous, vous avez été 40.63% à vous être déplacé un dimanche matin de 2009 pour m’élire, vous ne voyez toujours pas qui je suis ? Voyons, qui appelle-t-on pour lutter contre l’évasion fiscale et les fraudeurs ? Nous, les ghostbus… députés européens !
Cela fait bientôt 4 ans que je lutte en faveur de vos libertés et de vos droits, ma dernière grande victoire remonte à la dénonciation de l’huile de palme qui a sans aucun doute contribué à améliorer votre quotidien. Non ? Ces derniers temps j’ai changé d’ordre de bataille. Oui c’est vrai, je mène dorénavant une lutte incessante et acharnée face aux évadés fiscaux, aux fraudeurs, aux riches, rien que de les imaginer près de moi me donne des frissons dans le dos brrrr. J’ai changé vos vies et vous pouvez m’en remercier. Enfin, c’est plutôt à moi de vous remercier car vous avez également changé la mienne.
Grâce à vos impôts nationaux, j’ai l’honneur d’être rémunéré 6 200 € net par mois, ainsi que d’avoir des indemnités de frais généraux s’élevant à 4 299 € par mois, un remboursement des frais de transport, une indemnité annuelle de voyage de 4 243 €, puis une indemnité journalière de 304 € selon ma présence au Parlement lors des sessions qui ont eu lieu une dizaine de fois par mois. Au total je touche près de 15 000 € par mois et je dispose d’une enveloppe globale mensuelle pour payer mes collaborateurs de 21 209 €. Bon, je vous vois venir, autant vous rassurer tout de suite je paie mes impôts, cher monsieur, à hauteur de 12%. J’ai quand même le droit de faire respecter mon droit de propriété, non ? Je touche 70% de mon dernier salaire en guise de retraite au bout de 15,5 années de travail intense certes, mais il faut tout de même reconnaître que je travaille dans des conditions difficiles.
J’ai eu vent d’une vidéo sur internet qui vise à nous compromettre, comment des journalistes osent-ils nous montrer de cette manière devant les nobles concitoyens européens ? D’autant plus que l’on me voit dans cette vidéo, une coupe de champagne à la main entre deux votes, un petit restaurant quatre étoiles en guise de cantine, un peu d’art moderne comme décoration, et quand je n’ai pas envie de travailler j’ai ma petite technique à moi… Approchez, je vais vous la chuchoter : je rentre discrètement poinçonner mon ticket, un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite, puis je fais le tour du bâtiment avant de sortir comme si de rien n’était, mais avec mes 304€ du fait de ma « présence » au Parlement.
Comment ? Vous me traiter de fraudeur moral ? Je traque des évadés fiscaux alors que moi-même je ne suis pas soumis à ce système de spoliation dont je suis l’heureux inventeur mais auquel je ne suis pas soumis, vous ne comprenez pas, je suis un personnage ambigu aux multiples facettes, oui c’est ça et non pas un hypocrite. J’en oublie même l’animosité entre mon parti et mon parti rival autour d’une bonne coupe de champagne, rien de tel pour se désaltérer pendant ma pause de 11h. Vous m’accusez d’avoir oublié mes principes et ce pourquoi les concitoyens m’ont élu ? Non, je ne pense pas. Il est vrai qu’à une certaine époque M. Bové démontait les Mcdonald’s avec sa clé à molette mais aujourd’hui regardez donc, il valide la mise sur le marché de toute sorte d’OGM, il évolue dans sa pensée voilà tout, pas de quoi en faire un drame.
Il est vrai qu’en ce moment les temps sont durs, après que M. Cahuzac se soit fait attraper alors qu’il devait lui-même lutter contre l’évasion fiscale, nous, les députés français, nous sommes sentis obligés de divulguer nos patrimoines. Heureusement, nous avons bien géré notre affaire : si un citoyen français souhaite consulter mon patrimoine, il sera fiché au sein de l’administration qui m’en enverra une copie et ça ne s’arrête pas là … S’il divulgue ces informations, il sera réprimé par la loi. C’est donnant-donnant avec nous.
J’ai surtout beaucoup de problèmes avec l’opinion publique : j’ai des avantages énormes, je me moque du contribuable européen, je suis financé par l’argent public mais en plus j’ai le culot de prôner une réduction des déficits. Entre l’austérité de l’État et des institutions européennes face à votre austérité j’ai choisi cette deuxième option. N’en suis-je pas moins crédible lorsque je joue le moralisateur de première en parlant de « la perception de l’équité » comme le dit M. Barroso, de la taxation de plus en plus forte exercée contre ceux qui réussissent, ou encore de ma haine du « riche » que j’arrive plutôt bien à imprégner au peule alors que moi-même je fais partie de cette catégorie sans y connaitre les méfaits de l’étouffement fiscal ?
Toutefois, parfois lorsque j’y réfléchis, je me dis que les paradis fiscaux sont peut-être la conséquence de ma politique. Depuis le départ je m’efforce de traiter la conséquence et non le pourquoi du véritable problème, les paradis fiscaux ont toujours existé mais depuis plusieurs années maintenant, ils connaissent une forte prospérité dont je n’arrive pas à comprendre la raison. Ma conception étatiste de l’impôt me conduit à imposer au maximum la personne qui réussit le plus, et ce dans un système très compliqué et incertain juridiquement, peut-être est-ce la cause de cette prospérité. Ainsi, dans ce système hypercomplexe cette personne fera tout pour échapper à cet impôt jugé injuste. L’enjeu pour moi serait donc de simplifier le système, réduire les impôts, toutes ces initiatives contribueraient à une lutte contre ces paradis j’imagine, non ?
M’enfin, je me moque de toutes ces questions philosophiques, je fonctionne non pas dans le pragmatisme mais dans le sens du vent, les paradis fiscaux sont décriés alors je surfe sur cette vague même si je peux moi-même être considéré comme un fraudeur moral en raison de mon statut privilégié, mes avantages, et surtout le fait que je n’assume pas tout cela.
J’ai cru lire que certains libéraux sur ce site appelaient à la résistance, calmez-vous rapidement car le Parlement français a décidé de mettre en œuvre autant de moyen pour la lutte contre l’évasion fiscale que dans la lutte contre le terrorisme ! Collaborez avec l’État concitoyen sous peine de graves sanctions, retour vers le futur temps de Vichy ou de Robespierre, au choix.
Je dois déjà vous quitter, il faut que j’aille confirmer ma présence à cette session du Parlement pour touch… mettre mon travail à profit en cette belle journée ensoleillée.

Bretigny-sur-Orge-Les charognards de la Republique et la Dé-civilisation occidentale.

Nous l’avions malheureusement constaté lors d’évènements tragiques comme l’explosion d’AZF (usine toulousaine détruite le 21 septembre 2001 par l’explosion d’un stock de nitrate d’ammonium, entraînant la mort de 31 personnes, faisant 2 500 blessés et de lourds dégâts
matériels), où de nombreux « jeunes en manque d’amour » sont venus piller les victimes dans leur domicile sinistré alors même qu’ils pansaient leurs plaies…

Il a fallu que les Forces de l’Ordre prennent ce problème en charge alors que l’urgence se faisait ressentir auprès des nombreux blessés ….
La Haine que vous pouvez ressentir dans ces moments là, en tant que force de l’ordre,  n’est rien en rapport de la frustration et la tristesse que vous allez subir lorsque les pouvoirs publics vous demandent de ne pas intervenir pour éviter d’aggraver la situation…
Ces moments de désolation demeurent donc, entre autres, le terrain de jeu favori de ces quelques bandes de charognards qui profitent de la confusion et du malheur des autres pour faire quelques profits.
Ce vendredi 12 juillet 2013, un drame ferroviaire a eu lieu en gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne) en fin d’après-midi, provoquant plusieurs morts et de nombreux blessés.
Alors que les secours dépêchés sur les lieux se rendaient sur l’intervention, de nombreux jeunes ont profité de cette situation apocalyptique pour venir semer le trouble et faire quelques saisies …
En effet, nous apprenons dans Le Parisien.fr que  « deux personnes ont été placées en garde à vue, suspectées d’avoir dérobé des téléphones portables appartenant à des membres du Samu, présents sur le lieu de la catastrophe ».
Mais la bêtise n’a pas de limite dans ces petites têtes bien vides, certains pseudo-homo-sapiens-sapiens ont « courageusement » caillassé les services de Secours et les Forces de l’Ordre qui intervenaient.
Pire… D’autres sont venus faire main basse sur les affaires personnelles des blessés et des décédés…
Ces attitudes non seulement irresponsables mais véritablement démonstratives de l’état actuel de notre société…
Seront-elles condamnées par Mme Le Garde des Sceaux ?
L’intransigeance de M. Le Ministre de l’Intérieur à l’égard des manifestants populaires contre le Mariage Pour Tous ou les Veilleurs Debout sera-t-elle proportionnée face à ces actes infâmes ?
Cette sublimation policière à laquelle les groupes d’extrêmes gauche ne nous avaient pas accoutumé, viendra-t-elle sanctionner ces vautours ?
Permettez moi de maudire le jour où ces pauvres écervelés ont foulé la même terre que ces victimes qui n’attendaient que secours et réconfort …

Dé-civilisation occidentale
 

Dans un pays où règne la civilisation, chaque habitant au cours de son existence en moyenne produit davantage qu'il ne consomme, et ainsi contribue positivement à la société. Aussi, davantage de population, par naissance ou immigration, chaque fois enrichit le pays. Et ni le renouvellement générationnel ni les migrations démographiques ne sont des problèmes, car les vivants se suffisent économiquement à eux-mêmes, ils gagnent leur vie, et n'ont pas besoin de vivre au crochet d'un autrui qu'il faudrait faire venir ou empêcher de partir.
À l'opposé, dans un pays en processus de dé-civilisation, où chaque nouveau citoyen contribue en moyenne négativement à la société, consommant plus qu'il ne produit, davantage de population, que ce soit par naissance ou immigration, ne fait qu'empirer les choses. Et en même temps, moins de population, que ce soit par moins de naissances et d'immigration ou par davantage de morts et d'émigration, ne peut pas sauver le pays; au mieux cela ne peut que retarder un peu l'inévitable chute: le pays mange son capital, et retournera à la barbarie une fois ce capital épuisé.
C'est pourquoi le problème de l'Occident n'est ni un manque de naissance ni un trop plein d'immigration — mais sa propre dé-civilisation. Cette dé-civilisation, rapide pendant les guerres, et lente en période de paix, est aujourd'hui bien avancée; elle est le résultat de deux siècles de ruine par la social-démocratie, cette guerre permanente de tous contre tous pour le contrôle de tout. Mais comme la source de cette ruine est cette religion totalitaire qui occupe tous les esprits, tous les postes de pouvoir, tous les médias, et tout le système éducatif, il n'y a aucune issue positive possible à l'évolution interne de l'Occident.
L'Occident mourra, c'est une certitude. La pourriture est au coeur même de l'arbre. Les morceaux putréfiés seront dévorés par des masses de petits et grands charognards venus du tiers-monde, et qui déjà sont accourus à l'odeur du mourrant. Peut-être un sursaut sauvera-t-il quelques pays atypiques, qui après avoir observé le triste sort de leurs voisins, non seulement se couperont de l'infestation, mais surtout identifieront et aboliront la source de ce mal. Dans l'ensemble, il est fort peu probable qu'ils identifient le mal, si profondément ancré dans leur identité collective. Peut-être, après l'écroulement de l'hégémonie américaine, une invasion russe ou chinoise viendra-t-elle renouveler la civilisation; mais cela suppose que ces pays eux-mêmes arrivent à cultiver cette civilisation. Là encore, rien n'est sûr, et le pire est plus probable que le meilleur.
Dans tous les cas, c'en sera fini de l'Occident (post)chrétien qui conquit un jour le monde. Il ne restera que des débris, de quoi reconstituer un musée d'une civilisation disparue, d'un peuple qui s'est suicidé au nom d'une religion auto-destructrice, pour laisser place à de nouveaux occupants certes barbares par de nombreux aspects, mais du moins pas suicidaires. L'un dans l'autre, le plus barbare des deux n'est pas celui qu'on croit.