Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault s'oppose systématiquement à
la concurrence. Première victime, les Français, qui paient pour ce
capitalisme de copinage.
Avec l’été mûrissent les projets du gouvernement : restriction des auto-entrepreneurs et mise à dos des "poussins",
contraintes supplémentaires sur les voitures de petite remise,
réglementation des drives et de l’éclairage nocturne… la chaleur
estivale retrouvée suscite visiblement la fièvre régulatrice. Ces
projets confirment que non seulement le gouvernement est l’ennemi de la
concurrence, mais surtout qu’il s’inscrit dans la longue lignée
dirigiste française par laquelle les élites, "insiders" partisans du statu quo, bloquent toute évolution positive.
Colbertisme
oblige, la politique économique française n’a jamais été réellement
animée par un souci de défense de la concurrence libre. Dès qu’un régime
alternatif se développe pour sortir des pesanteurs de l’économie
administrée, par exemple dans les transports ou encore la distribution
en ligne, l’État s’empresse de le menacer et de tenter de le réduire au
silence.
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